Ottawa : Que faire et que voir

Le dos de la porc tombe officiellement connu sous le nom de Prince of Wales Falls, mais rarement mentionné par ce nom, est une série de cascades artificielles sur la rivière Rideau à Ottawa, en Ontario, au Canada. Les chutes sont situées juste au nord de la baie de Mooney et du point où le canal Rideau se divise de la rivière Rideau.

Avant la construction du canal Rideau, c'était un ensemble doux de rapides appelés trois rapides de roches. Le nom du nom de HOG est entré en usage sous peu avant la construction du canal. Ingénieur civil John Mactaggart, en 1827, les a décrites comme "une crête de rochers notée, appelée le dos de la porc, des circonstances de radeaux avec leurs marchandises qui lui rendent en descendant le ruisseau." Ces rapides étaient d'environ 600 mètres (2 000 pieds) de longueur avec une chute d'environ 1,8 mètre (6 pieds). Ils étaient navigables par canoë; Aucun portage n'était requis.

Dans le cadre de son concept pour un système de navigation dans Slackwater, le conception du Colonel John By pour le canal Rideau a appelé à un grand barrage à soulever à cet endroit. Il détournerait l'eau de la rivière Rideau dans la section créée artificiellement du canal menant aux serrures d'Ottawa. Il inondrait également les trois rapides de l'île situés en amont (le chef de la baie de Mooney actuelle marque le pied de ces rapides).

Le bâtiment de ce barrage a fourni l'un des plus grands défis de la construction (il s'est effondré 3 fois pendant la construction) du canal Rideau, mais une fois achevé en 1831, il a inondé la rivière Rideau à ce moment de 12,5 mètres (41 pieds). Pour accueillir le flux naturel de la rivière Rideau et prévenir les dommages causés par les inondations de printemps, un grand déversoir des eaux usées a été construit. L'eau de ceci traverse une chaîne excavée dans la rive orientale de la rivière Rideau. Cela a créé les chutes de retour du porc que nous voyons aujourd'hui.

La tête des rapides d'origine est maintenant enterrée sous le barrage du canal, mais la partie inférieure des rapides peut encore être vue aujourd'hui.

Cet emplacement marque l'endroit où la route du canal Rideau quitte la rivière Rideau et entre dans un canal manmade menant aux serrures d'Ottawa. Une série de serrures abaisse des bateaux de cet endroit à la rivière des Outaouais.^[4]

Le Britannia Yacht Club est un club social privé, un club de yacht et un club de tennis basé à Britannia, Ottawa, Ontario, Canada. Il a été fondé en 1887 par un groupe de chalets.

BYC est situé sur une extension des terres à l'extrémité est de Lac Deschênes près des Rapids de Deschênes sur la rivière Ottawa. Un bloc foncier appartenant à la Commission de la capitale nationale du côté sud du port est loué au BYC. La zone immédiatement au sud de la propriété est occupée par des résidences de la baie de Britannia. Le port a été construit à partir d'un canal de puissance abandonné, qui se trouvait à côté de la propriété du club. Ce port a été élargi deux fois depuis son développement original. Le niveau d'eau du port est contrôlé par un système de bûches d'arrêt à son entrée.

BYC est membre de la Ontario Sailing Association, des escadrons canadiens de puissance et de voile et de l'Association canadienne de yachting. Ses dirigeants comprennent un commodore, un vice-collecteur, un marchand arrière, un secrétaire et un trésorier.^[5]

Le musée Bytown est un musée d'Ottawa situé dans le colonel par vallée des serrures d'Ottawa du canal Rideau à la rivière Ottawa, juste en dessous de la colline du Parlement. Installé dans le bâtiment du commissariat, le plus ancien bâtiment en pierre restant d'Ottawa, le musée offre un aperçu complet des origines de Bytown et de son développement et de sa croissance dans la ville actuelle d'Ottawa.

Fondée en 1917 par la Women's Canadian Historical Society of Ottawa (WCHSO), le Bytown Museum était à l'origine situé dans l'ancien bureau de registre de la ville de 70 Nicolas en face de la prison du comté de Carleton. Le musée a déménagé à son emplacement actuel en 1951 et a opéré du commissariat depuis, à l'exception d'une brève période de 1982 à 1985, lorsque Parks Canada, le propriétaire du bâtiment, a effectué des rénovations.^[8]

Parc à Ottawa, Canada. Le Parc Major's Hill est l'un des parcs les plus connus du centre-ville d'Ottawa. Il se situe au-dessus du canal Rideau où celui-ci se joint à la rivière des Outaouais. À l'ouest, de l'autre côté du canal, se trouve le parlement du Canada. Au nord du parc se trouve le Musée des beaux-arts du Canada et à l'est l'Ambassade des États-Unis ainsi que le Marché By. Au sud, on peut apercevoir le Château Laurier qui a été construit sur une parcelle de terre ayant déjà fait partie du Parc Major's Hill.

La maison du Colonel By, qui était située sur Major's Hill (Fr : Colline du Major) à Bytown (fr: Village By), a été la résidence officielle de cet ingénieur qui supervisait les travaux de construction du canal Rideau. Pendant que le Lieutenant-Colonel By y habitait, cet endroit a été connu comme étant "la Colline du Colonel" et donc "the Colonel's Hill" en anglais. Ce nom est resté lorsque le Colonel Daniel Bolton a remplacé John By en 1832, mais l'endroit avait pris le nom de "Colline du Major" au départ de Bolton en 1843, promu Major entretemps.

La maison a été détruite par les flammes en 1849. Les ruines ont alors été recouvertes et l'endroit est devenu un parc. L'emplacement exact de la maison a été un mystère pendant plus de 100 ans jusqu'en 1972 lorsque l'historienne Dr. Mary Burns a effectué des recherches archéologiques pour la Commission de la Capitale Nationale.^[10]

Expositions sur l'histoire militaire canadienne. Le musée canadien de la guerre est le musée national d’histoire militaire du Canada. Il est situé à Ottawa sur les plaines Lebreton.

Il couvre tous les aspects du passé militaire du pays, depuis les premiers cas attestés de morts par violence armée dans l’histoire du pays, il y a de cela plusieurs milliers d’années, jusqu’aux conflits les plus récents auquel le pays a participé. Il présente de grandes expositions permanentes sur les guerres menées en sol canadien, sur les guerres totales du XX e siècle, sur la guerre froide et les opérations de maintien de la paix à l’étranger, et sur l’histoire de la reconnaissance, d’hier à aujourd’hui. Le Musée dispose aussi d’une réserve ouverte où sont exposés de gros objets de sa collection tels que des canons navals, des chars d’assaut, des motocyclettes et un avion à réaction. Les expositions illustrent le passé militaire du Canada dans ses dimensions individuelles, nationales et internationales, avec une insistance particulière sur l’expérience humaine de la guerre et sur la manière dont la guerre a marqué le Canada et été marquée par la participation de Canadiens.

Une large partie des espaces publics d’exposition est consacrée aux galeries sur le Canada et les conflits qui constituent l’essentiel des expositions permanentes. Ces présentations soulignent les répercussions profondes qu’a eues la guerre sur l’évolution du Canada, et le rôle marquant que les Canadiens ont joué dans les conflits internationaux. Le contenu de ces galeries est un riche mélange de quelque 2 500 objets, allant d’œuvres d’art inspirées par la guerre à des véhicules blindés, de très nombreux documents audiovisuels et de multiples activités demandant la participation des visiteurs. Un programme sans cesse renouvelé d’expositions temporaires ou spéciales, d’activités publiques et d’évènements spéciaux complète l’expérience offerte dans les galeries permanentes.

Le MCG héberge également le Centre de recherche sur l’histoire militaire, une installation de pointe pour la recherche en bibliothèque et archives, et une vaste collection de quelque 500 000 artefacts comprenant des uniformes, des médailles, des armes, des œuvres d’art inspirées par la guerre, des aéronefs, des véhicules militaires et des pièces d’artillerie.

Les origines du MCG remontent à l’année 1880. L’édifice actuel, qui a ouvert en mai 2005, est situé à moins de 2 km à l’ouest des édifices du Parlement canadien. L’architecture de cet édifice a suscité les plus grands éloges aussi bien des professionnels que du public. Le MCG fait partie de la Société du Musée canadien des civilisations qui englobe également le Musée canadien de l'histoire, le Musée canadien des enfants, le Musée canadien de la poste et le Musée virtuel de la Nouvelle-France.^[11]

Expositions éducatives et divers avions. Le Musée de l'aviation et de l'espace du Canada est le musée national canadien de l'histoire de l'aviation, fondé en 1964. Il est situé à Ottawa, Ontario, à l'aéroport d’Ottawa-Rockcliffe. La collection du musée contient une large variété d'avions civils et militaires, représentant l'histoire de l'aviation canadienne de l'ère des pionniers avant la Première Guerre mondiale jusqu'à aujourd'hui. La collection de vieux bushplanes des années 1920 aux années 1940 est particulièrement remarquable. La collection d'avions militaires représente les vols effectués par les Canadiens pendant la Première Guerre mondiale, la Seconde Guerre mondiale et la Guerre froide. L'exposition la plus connue du musée est consacrée aux composantes restantes de l'intercepteur Avro CF-105 Arrow, construit à la fin des années 1950.

Aussi, il y a sur le site des activités interactives sur la science du vol, des films, des démonstrations, une boutique et des tours guidés.

Quelques visites amènent les visiteurs « derrière la scène » pour voir les travaux de conservation et de restauration en cours et les pièces qui sont dans l'entrepôt.^[12]

Monument à la confédération canadienne. La Flamme du centenaire a été allumée à Ottawa pour la première fois le 1er janvier 1967 par Lester B. Pearson pour les fêtes du Centenaire du Canada.

Entourée des écussons des provinces et territoires canadiens, et brûlant au-dessus de l'eau de la fontaine, la Flamme du centenaire symbolise l'unité canadienne d'un océan à l'autre.

Sur le rebord de la fontaine, on a inscrit l'année où chaque province ou territoire est entré dans la Confédération, en dessous de l'écusson correspondant. Ainsi, en commençant par 1870, on trouve l'écusson du Manitoba. Puis, dans le sens des aiguilles d'une montre, on trouve dans l'ordre : Saskatchewan (1905), Alberta (1905), Colombie-Britannique (1871), Yukon (1898), Territoires du Nord-Ouest (1870), Terre-Neuve (1949), île-du-Prince-Édouard (1873), Nouvelle-Écosse (1867), Nouveau-Brunswick (1867), Québec (1867) et Ontario (1867).

Chaque jour, les visiteurs jettent des pièces de monnaie dans la fontaine. En vertu d'une loi adoptée par le Parlement en 1991, ces pièces de monnaie contribuent au financement de travaux de recherche qui sont menés par des Canadiens handicapés. Les pièces de monnaie sont confiées au contrôleur de la Chambre des communes, qui administre la Bourse de recherches de la Flamme du centenaire. Cette bourse a été créée pour souligner et faire connaître les réalisations des personnes handicapées.

Travaux publics et Services gouvernementaux Canada est responsable du fonctionnement et de l'entretien de cet important symbole national. Deux fois par année, on éteint la flamme pour une période d'une semaine, au printemps et à l'automne. Pendant l'automne, l'eau est remplacée par du glycol non toxique qui empêche le gel.^[18]

Le monument au maintien de la paix est un monument se situant à Ottawa, la capitale du Canada. Il est dédié aux casques bleus canadiens morts et vivants.

On peut le trouver sur la promenade Sussex, à l’angle de la rue Saint-Patrick à Ottawa. Il est donc situé au Sud du musée des beaux-arts ainsi qu'au Nord de l'ambassade des États-Unis à Ottawa et du Major's Hill Park (lit. le parc de la colline du major).

Le monument, nommé « Réconciliation », met en scène trois gardiens de la paix — deux hommes et une femme — debout sur des arêtes en pierre émergeant des décombres, résultat de la guerre, et convergeant vers un sommet qui symbolise la résolution du conflit. Aux pieds du monument se trouvent les paroles historiques du 2 novembre 1956 dites par Lester Pearson ainsi que sa traduction française :

« Nous devons agir non seulement afin de mettre fin à la guerre mais aussi pour rétablir la paix. Mon gouvernement serait heureux de recommander la participation canadienne à une force internationale des Nations unies. »

En 1995, le monument a été représenté sur le 1 $ canadien faisant ainsi suite à l'utilisation du monument commémoratif de guerre du Canada sur le dollar canadien de 1994.^[21]

Rideau Carleton Raceway est un complexe canadien de courses de chevaux et de jeux de hasard située au 4837 Albion Road à Ottawa, en Ontario. L'installation a commencé à fonctionner en 1962 et se spécialise dans les courses de harnais standard.

En 2000, le lieu a introduit des machines à sous, sous l'autorité de l'Ontario Lottery and Gaming Corporation, qui devait tirer un chiffre d'affaires annuel de 130 millions de dollars. Le site comprend un restaurant et héberge des performances musicales.

Rideau Carleton est également le site de la foire de Gloucester depuis 1998. Le Raceway propose des installations de nombreuses collectes de fonds de bienfaisance et accueille des événements annuels pour plusieurs ambassades.

Les opérations du Raceway sont actuellement gérées par Hard Rock Hotels and Casinos, qui a acheté l'installation en septembre 2017. Hard Rock détient 51% du stock.^[22]

Nepean Point est une colline avec un belvédère pittoresque à Ottawa, en Ontario, au Canada, surplombant la rivière Ottawa, le Parlement, le Musée canadien d'histoire et d'autres caractéristiques du centre-ville d'Ottawa et de Gatineau. Il est situé entre la Galerie Nationale du Canada et Alexandra Bridge.

Au sommet de la colline est une statue d'explorateur français Samuel de Champlain tenant son célèbre astrolabe à l'envers. Il a été fait par Sculptor Hamilton MacCarthy en 1915.

Auparavant, la Statue a également présenté un scout de First Nations à genoux, ajouté en 1918 pour «signifier comment les autochtones aidaient que Champlain naviguer dans les eaux de la rivière des Ottawa», mais cela a été déplacé vers le parc Hill du Major Hill.

Le petit amphithéâtre sur le point est appelé «théâtre Astrolabe», vraisemblablement une référence à Champlain.^[24]

moulin Watson est une meunerie et un moulin à farine historique situé à Manotick, Ontario, Canada. Il s’agit du seul musée exerçant des activités commerciales dans la région d’Ottawa et l’une des très rares meuneries industrielles toujours en exploitation en Amérique du Nord. En effet, Moulin Watson vend toujours de la farine de blé entier moulu sur pierre qui est fabriquée sur place. Le moulin est aussi réputé pour son récit de fantôme. Selon la légende, Ann Currier, femme de Joseph, hante le moulin depuis sa mort lors d’un accident tragique ici en 1861. Moulin Watson est le bâtiment le mieux connu de Manotick. Son image est utilisée comme symbole du village.

Moss Kent Dickinson et Joseph Merrill Currier fondèrent le moulin sous le nom de Long Island Milling Enterprise en 1860. C’était l’un d’une série de moulins construits dans la région qui utilisait l’énergie hydraulique du canal Rideau. Il obtint son nom actuel lorsqu’il fut acheté par Harry Watson en 1946. Watson fut le dernier propriétaire à exploiter le moulin à une échelle industrielle. Lorsque l’Office de protection de la vallée Rideau acheta le moulin en 1972, il fut aménagé en musée.

Le moulin est ouvert au public durant les mois d’été et on y organise une foule d’activités, dont des démonstrations de mouture du grain tous les dimanches.^[25]

Le musée de la Banque du Canada, anciennement connu sous le nom de Musée des devises du Canada, a ouvert ses portes en 1980 sur le rez-de-chaussée du bâtiment de la Banque du Canada à Ottawa, en Ontario, au Canada. Temporairement fermé en 2013 pour les principales rénovations des bâtiments, le musée s'est rouvert dans un nouvel espace le 1er juillet 2017 dans un nouveau bâtiment, avec une conception et un concept complètement nouveau. Il est toutefois relié au bâtiment principal par le biais du centre de conférence souterrain de la Banque du Canada.

Le musée était le visage public de la collection nationale de monnaie, qui contient plus de 100 000 artefacts liés à la monnaie du monde entier. Celles-ci comprennent des pièces de monnaie, des billets de banque, des matrices, des plaques et des outils de gravure, des guichets bancaires et des bombes, des pondérations et des échelles, des registres de caisse, des portefeuilles, des médailles numismatiques et des cartes et des exemples d'argent contrefait. Cette collection était exposée jusqu'en 2013 et actuellement, la majeure partie de celle-ci est en stockée et n'est pas disponible pour les visiteurs.

Au 2021 février, le musée travaille au remplacement de ces artefacts, en les mettant et en les numérisant.

La collection de devises nationale englobe également une bibliothèque et une archive contenant plus de 8 500 livres, pamphlets, catalogues et revues datant du Moyen Âge.

Le musée propose divers programmes éducatifs pour les groupes scolaires et le public, en anglais et en français.^[27]

Horaceville est un site historique situé sur la rivière Ottawa dans l'est de l'Ontario, au Canada. Le site est resté la propriété des héritiers de Hamnett Kirkes Pinhey jusqu'aux années 1970, lorsque la propriété a été vendue au canton. Aujourd'hui, le site du patrimoine de 88 acres appartient et exploité par la ville d'Ottawa et la maison de Pinhey sert de musée. Le musée est ouvert le 14 mai au 31 août, le mercredi au dimanche de 11h à 17h. Cet emplacement est également appelé site historique du point de Pinhey. La propriété a été désignée par la Ville d'Ottawa en vertu de la partie IV de la Loi sur le patrimoine de l'Ontario en tant que valeur du patrimoine culturel ou intérêts. Une plaque de bronze érigée sur le site par la Fondation de l'héritage de l'Ontario décrit l'histoire de l'établissement: "Hamnet Kirkes Pinhey 1784 - 1857 - Un commerçant et un propriétaire de navires de son Angleterre autochtone, Pinhey est arrivé au Haut-Canada en 1820. Pour ses services de Messager du roi pendant Les guerres napoléoniennes, il a reçu une subvention terrestre de 1000 acres sur la rivière des Outaouais. En une décennie, il avait construit un domaine qu'il a nommé Horaceville après son fils aîné. En plus d'un manoir et d'une grange, il comprenait des usines, un magasin et Église. Pinhey a pris une part de premier plan dans le canton et les affaires de district. Il a été nommé au Conseil législatif en 1847, a servi de gardien du district de Dalhousie et comme le premier gardien du comté de Carleton. Horaceville resta dans des mains de la famille jusqu'en 1959 quand c'était acheté par la Commission de la capitale nationale. "

Le site, qui est une destination populaire pour les plaisanciers, les cyclistes et les pique-niques, se compose de 88 acres (360 000 m2) de parcs de parcs, d'un manoir en pierre de près de 200 ans, de deux granges, d'une vue panoramique sur la rivière et de plusieurs pierres ruines. Le manoir sert de musée de la maison historique avec des chambres meublées et des expositions temporaires. La ville d'Ottawa propose de multiples programmes pour les familles tout au long de sa saison de fonctionnement (mai - août) ainsi que certains programmes de la saison. Le parc lui-même est ouvert toute l'année. L'admission au musée est par donation; Certains des programmes et des événements spéciaux facturent des frais de participation. Le lieu peut être loué pour les mariages, anniversaires ou toute autre célébration spéciale.^[29]

Andrew Haydon Park est un parc sur la rivière Ottawa qui est géré par la ville d'Ottawa, Ontario, Canada. Il est situé sur Carling Avenue à Holly Acres Road.

Il y a une coquille de bande pour des concerts en plein air et un aire de pique-nique. Le Nepean Sailing Club est situé à proximité à Dick Bell Park adjacent. Le parc comprend des sentiers de randonnée, des structures de jeu et un pique-nique.

Les oies, les brants, les canards et les rives migrants du Canada s'arrêtent le long des bords marécageux de la rivière près du parc. Les oies et les collants résidents du Canada habitent également les deux étangs du parc.

Le parc a été nommé d'après Andrew Haydon, ancienne Reeve de Nepean.

Le paysage-architecte Donald W. Graham a travaillé sur ce projet.^[30]

Le monument de la guerre de 1812, officiellement intitulé Triumph par la diversité, est un mémorial de bronze et de pierre, situé à la colline du Parlement à Ottawa, en Ontario, au Canada, au Canada. Sept chiffres - un combattant des Premières nations, un Métis militomman, un fantassin ordinaire du Royal Terre Nethoundland Regiment of Fencible Infantry, un soldat québécois des voltigeurs canadiens étant bandés par une figure féminine, une marine de la marine royale et un fermier - représentent ceux qui ont été Jeté du côté canadien de la guerre de 1812. Le monument est situé en face du Mémorial de la guerre nationale avec l'une des figures du monument de 1812 pointant dans sa direction.

Une partie du monument est également un érable planté dans un sol pris à partir de 10 sites de champ de bataille canadien et arrosé de dédicace avec de l'eau de six océans et des lacs importants dans la guerre de 1812. L'arbre symbolise la nation canadienne qui a grandi des efforts pour Défendez le Canada pendant la guerre de 1812.

Le monument a été dédié le 6 novembre 2014, le 200e anniversaire de la bataille finale de la guerre au Canada, la bataille de Malcolm's Mills.^[31]

Arboretum à Ottawa, Canada. L'Arboretum du Dominion fait partie d'un ensemble d'attractions touristiques regroupées dans une zone située au sud du centre-ville d’Ottawa. Fondé en 1889, c'est le plus ancien arboretum du Canada. D'une superficie de 40 hectares, l'arboretum du Dominion longe une partie du canal Rideau près du lac Dow dans lequel les visiteurs peuvent y admirer 10 000 espèces de plantes. Il comprend trois serres. La plus importante, utilisée pour la recherche, est d'une superficie de 2 760 m2. Il dispose également d'un herbier contenant quelque 695 000 spécimens de plantes conservées à des fins de référence. Localisés dans des zones adjacentes, on retrouve les jardins ornementaux et la Ferme expérimentale centrale.^[32]