Greenville : Que faire et que voir

Salle omnisports à Greenville, Caroline du Sud. Le Bon Secours Wellness Arena est une salle omnisports située à Greenville, dans l'État de Caroline du Sud. L'arène est principalement utilisée pour les rencontres de basket-ball, de hockey sur glace et les concerts.

Elle a été la patinoire du Grrrowl de Greenville de l'East Coast Hockey League entre 1998 et 2006 ainsi que le terrain de jeu des Rhinos de la Caroline de l'Af2 de 2000 à 2002, puis du Groove de Greenville de la NBA Development League entre 2001 et 2003. Depuis, la salle n'abrite aucune équipe sportive. Le Bon Secours Wellness Arena a une capacité de 14 897 places pour le basket-ball, 13 707 pour le hockey sur glace et 15 951 places assises au maximum pour les concerts. De plus, il dispose de 30 suites de luxe et 840 sièges de club.^[1]

Une ménagerie animalière compacte et ouverte toute l'année. Le zoo de Greenville est un zoo à Greenville, en Caroline du Sud, aux États-Unis. Le zoo a ouvert ses portes en 1960 et est situé au 150 Cleveland Park Drive, près de l'Interstate 385, sur un site de 14 acres à Cleveland Park.

Le site officiel du zoo déclare: "Une visite typique durerait d'une heure à une heure et 30 minutes." Le zoo est à côté de Cleveland Park, qui contient des tables de pique-nique sur tout le site, et propose des pistes de vélo et de randonnée, des courts de tennis et de volley-ball, des terrains de jeux pour enfants et plusieurs abris disponibles par réservation. Le zoo est ouvert tous les jours tout au long de l'année, à l'exception de Thanksgiving, de Noël, de la veille de Noël et du Nouvel An.

Le zoo de Greenville est accrédité par l'Association des zoos et aquariums (AZA).^[3]

Conestee Nature Preserve, anciennement Lake Conestee Nature Preserve / Park, ouvert en 2006, est une réserve de 400 acres le long de trois milles de la rivière Reedy à ConeStee, en Caroline du Sud, avec 13 miles de sentiers, plus de 6 miles d'entre eux pavés et 1 mille de promenade. La réserve contient à la fois des forêts en bois dur et en persistants, de vastes zones humides et une riche diversité de reptiles, de mammifères et d'oiseaux. Au moins 223 espèces d'oiseaux ont été signalées et la National Audubon Society a désigné le parc comme une zone d'oiseaux importante d'importance mondiale. En 2016, l'État de Caroline du Sud a fait de l'installation privée un sanctuaire faunique.

Le lac Connestee a été créé lorsque la rivière Reedy a été marquée à l'usine de conteste vers 1892. Dans sa plus large mesure, le lac couvrait environ 130 acres (53 ha), mais des années de déchets industriels en amont et de décharge ont rempli environ 90% du lac avec sédiments si toxiques que le lac a été classé comme un site superfund. En 2000, la Fondation Conestee, une organisation de conservation 501 (c) (3), a été formée pour diriger la revitalisation du lac en tant que zones humides grâce au développement de la réserve nature pour acheter le lac et le barrage. Une fois les études de sécurité sur les friches industrielles terminées, il a été déterminé qu'aucun mal ne résulterait si les sédiments toxiques étaient laissés en place.

En décembre 2016, les inspecteurs du Département d'État de la santé et du contrôle environnemental ont évalué le barrage de Conenee, qui n'est pas entré dans le substratum rocheux, en mauvais état en raison de la détérioration du mortier et de la infiltration d'eau.^[4]

Cleveland Park est le plus grand parc de Greenville, en Caroline du Sud, une grande partie de ses plus de 120 acres étant Greenway le long de Richland Creek et de la rivière Reedy près des "quartiers les plus élégants" de la ville.

Le 31 décembre 1924, avec des encouragements du président de la Commission de Greenville Park, John Alexander McPherson, de l'éminent Greenvillean William Choice Cleveland, a fait don d'une forme de croresce Compléter son nouveau développement de logements, Cleveland Forest, et comprendrait un parc et des paddock équestres où les résidents pouvaient embarquer sur leurs chevaux. (Les écuries gérées par des propriétaires privées existaient à côté du parc jusqu'à ce qu'ils soient démolis en 2014.) En 1925, la ville de Greenville a créé deux terrains de baseball, un ring à cheval et une aire de jeux, et le parc a officiellement ouvert ses portes le 1er janvier 1926.

En 1928, lors de l'administration du maire Richard Watson, lorsqu'une émission d'obligations de 110 000 $ pour développer le parc a été approuvée, le parc a été interrogé à 126 acres. La terre autour de la rivière était marécageuse et sujette aux inondations, une carence partiellement corrigée pendant la Grande Dépression lorsque la WPA a canalisé le lit de la rivière, améliorant considérablement le drainage.

Dans ses premières années, le parc comprenait un lieu de rencontre pour les scouts et un parcours de golf public de neuf trous, construit et abandonné dans les années 1930. Une piscine et une patinoire ont été ajoutées en 1929; Mais en 1964, pendant le mouvement des droits civiques, la piscine réservée aux Blancs a été fermée pour l'empêcher d'être intégrée. D'abord une exposition de lion de mer a remplacé la piscine, puis une roseraie; Enfin, en 1988, les courts de tennis ont remplacé à la fois le jardin et la patinoire.

En 1930, le Greenville Garden Club a commencé à rénover une carrière de roche de l'ère de la guerre civile dans le jardin de carrière de roche. Le jardin a remporté un prix Better Homes and Gardens en 1932; Mais dans les années 1960, il a été négligé et envahagé. Un autre projet de rénovation a revitalisé le jardin dans les années 1980 et, au 21e siècle, le jardin de la carrière de roche est devenu un lieu de mariage et de réception populaire.

Au 21e siècle, le parc, maintenant adjacent au zoo de Greenville, comprenait un terrain de softball, un volleyball et des courts de tennis, plusieurs terrains de jeux, un mémorial des vétérans du Vietnam et huit abris de pique-nique. Le Swamp Rabbit Trail traverse le parc, et il comprend également le Fernwood Nature Trail, le Ramona Graham Fitness Trail et le Troop 19 Trail. Un point de repère distinctif est le mémorial de Rudolf Anderson, un natif de Greenville a abattu Cuba en octobre 1962, la seule victime américaine de la crise des missiles cubains. Le Mémorial Anderson comprend un sabre et des panneaux F-86 expliquant la vie et la mission d'Anderson.^[6]

Falls Park on the Reedy est un parc de 32 acres adjacent au centre-ville de Greenville, en Caroline du Sud, dans le quartier historique de West End. Considéré le lieu de naissance de Greenville, le parc a été fondé en 1967 lorsque le Carolina Foothills Garden Club a récupéré 26 acres de terrain qui avait été précédemment utilisé par des usines textiles. La rénovation s'est accélérée à la fin des années 1990 sous le maire Knox H. White, provoquant la formation du Falls Park Endowment, un organisme de bienfaisance privé soutenant le développement continu. Chaque été, le parc abrite le festival de l'État de Shakespeare.

La caractéristique la plus frappante du parc est un pont piétonnier unique qui se courbe autour d'une cascade sur la rivière Reedy. Nommé le Liberty Bridge à Falls Park sur la reedy, le pont de suspension de 355 pieds (108 m) est soutenu par des câbles d'un seul côté, donnant une vue imprenable sur les chutes. Il a été conçu par la firme de Boston Rosales + s'associe à la société allemande Schlaich Bergermann & Partner en tant qu'ingénieurs en structure et achevé à l'automne 2004. Il a reçu la médaille Arthur G. Hayden pour une conception innovante en 2005.

Près du pont, l'entrée de la rue principale du parc est honorée par les 16 pieds de Bryan Hunt (4,9 m). La sculpture en bronze Fall Lake Falls et contient un restaurant et d'autres commodités des visiteurs au New Falls Park Center.

Le parc comprend également une collection de jardins publics et un mur de l'usine Grist de 1776 originale construite sur le site.^[7]

Le Musée de l'histoire du Upountry est un musée d'histoire de Greenville, en Caroline du Sud, qui affiche l'histoire régionale de quinze comtés de Caroline du Sud du nord du début du XVIIIe siècle à nos jours. Les expositions conçues par Christopher Chadbourne et les associés mettent l'accent sur la technologie plutôt que sur les artefacts "pour engager les sens, enflammer l'imagination et transporter les visiteurs dans le temps".

Le musée est situé sur Greenville's Heritage Green avec le musée pour enfants, le musée d'art du comté de Greenville, le musée satellite et la galerie de l'Université Bob Jones, la bibliothèque principale du comté de Greenville et le Greenville Little Theatre. Le musée a ouvert ses portes en septembre 2007. Il est géré par l'Université Furman.

En 2015, le Musée d'histoire du Upcountry a été nommé affilié de Smithsonian. Sa première exposition Smithsonian était à la recherche des années 70: le projet de photographie Documerica.^[10]

Le pavillon Wyche est la coquille en plein air à deux étages d'un bâtiment historique au centre-ville de Greenville, en Caroline du Sud, utilisé au 21e siècle comme lieu d'événement. Dans le cadre du quartier industriel de Reedy River, le bâtiment a été inscrit au registre national des lieux historiques le 14 janvier 1979.

La structure en briques a été construite en 1904 par le célèbre ingénieur de Greenville et architecte industriel Joseph Emory Sirrine (1872–1947) avec de grandes fenêtres de la même taille sur les deux étages, un toit plat et une coupole en son centre. Le bâtiment était destiné à un atelier de peinture pour l'usine de coach de Greenville adjacente, mais avec la venue de l'automobile, les propriétaires de l'usine Coach ont vendu l'entreprise en 1911. En 1925, le bâtiment est devenu la maison de Duke's Mayonnaise, une entreprise réussie Créé par Eugenia Thomas Slade Duke, résident de Greenville (1881–1968).

Le bâtiment a été pratiquement abandonné en 1958 et était tombé en ruine avant d'être acheté dans les années 1980 par le Peace Center, un complexe d'arts de Greenville, qui avait initialement l'intention de restaurer le bâtiment. Après que les contraintes financières ont empêché le remodelage, le bâtiment a été vidé, transformé en pavillon en plein air et nommé pour Tommy Wyche (1926-2015) et son épouse Harriet, chefs de file dans la transformation du centre-ville de Greenville. En 2019, après le développement de Falls Park, le Peace Center a proposé d'installer des fenêtres, des portes et des équipements de CVC afin de transformer le bâtiment en "un lieu de performance entièrement fonctionnant, avec un son et un éclairage de pointe". Malgré deux propositions de conception, la seconde comprenant une recommandation de City Planners, la conception de Greenville a rejeté les plans du Peace Center par un vote de 3-2.^[14]

Le musée et la bibliothèque «Sholess» Joe Jackson ont été ouverts pour la première fois au public le 21 juin 2008. Situé en face de Fluor Field à Greenville, en Caroline du Sud, la maison en brique de cinq chambres dans laquelle Joe Jackson a vécu et décédé en contient quelques-uns de quelques-uns de Ses effets personnels et plus de 2 000 livres liés au baseball.

En 2015, le musée Sholess Joe Jackson a officiellement demandé le commissaire du baseball Rob Manfred pour la réintégration de Jackson au baseball, au motif que Jackson avait "plus que purgé de peine" au cours des 95 ans qui ont suivi son bannissement par Kenesaw Landis. Manfred a nié la demande après un examen officiel. "Les résultats de ce travail me démontrent qu'il n'est pas possible maintenant, plus de 95 ans depuis que ces événements ont eu lieu et ont été considérés par le commissaire Landis, comme étant suffisamment certain de la vérité pour annuler les déterminations du commissaire Landis", a-t-il écrit.

Le musée permet aux membres du public de visiter le samedi et d'organiser des visites privées au cours de la semaine. Pendant son séjour à Greenville, de nombreux visiteurs du musée visitent également la tombe "Sholess" Joe Jackson située dans le parc Memorial Woodlawn près du campus de l'Université Bob Jones. Lors de la visite de la tombe, les membres du public quittent des équipements liés au baseball tels que les balles de baseball, les gants et les crampons.^[16]

Le cimetière de Springwood est un cimetière historique à Greenville, en Caroline du Sud, inscrit au registre national des lieux historiques. C'est le cimetière municipal le plus ancien de l'État et compte environ 7 700 marquées et 2 600 tombes non marquées.

Le premier enterrement de ce qui est aujourd'hui le cimetière de Springwood a eu lieu en juillet 1812, après Elizabeth Blackburn Williams (1752–1812), la belle-mère d'un premier chancelier de Greenvillien, Waddy Thompson, a exprimé un désir d'être enterré dans le jardin familial. De nombreux autres enterrements ont eu lieu dans la région après que Thompson a vendu 60 acres de sa propriété à un Francis H. McLeod en 1817. En 1829, McLeod a ouvert le cimetière privé au public et en 1833, il a transmis un terrain à la ville pour une utilisation comme cimetière. La ville a acquis des hectares supplémentaires au cours des années 1870, et les cinq derniers acres du cimetière ont été achetés avant 1944. Vraisemblablement, le cimetière a été nommé pour un printemps qui était autrefois inclus dans, ou était juste au-delà, ses limites.

Le cimetière de 200 ans comprend «une collection complète de types de gravillons», y compris des pierres de campagne, des tombes de maçonnerie surélevées surmontées de livres de pierre, de monolithes victoriens et de marqueurs d'administration des anciens combattants. Quatre-vingt-vingts soldats confédérés inconnus sont enterrés près de l'entrée, vraisemblablement des soldats décédés de blessures ou de maladie après avoir été déménagé dans l'un des deux bâtiments de Greenville utilisés pour les hôpitaux pendant la guerre civile.

Springwood conserve ses éléments de conception du cimetière rural et la planification du paysage en 1876 de l'architecte de nouveau sud de nouveau sud G. L. Norrman. La porte d'entrée, conçue par l'architecte local James Lawrence et construite en calcaire de l'Indiana, a été achevée en 1914. Juste à l'extérieur de l'entrée de la rue principale, dans son propre parc de poche, est un monument confédéré qui de 1891 à 1923 se tenait au milieu de la rue Main .

Le coin nord-est du cimetière, qui a été utilisé comme champ de potier pour les Afro-Américains et les Blancs indigents n'a peut-être qu'une douzaine de pierres tombales restantes, bien que la zone contienne des centaines de tombes. En 1969, la ville de Greenville a étendu la rue Academy à travers cette section et a supprimé les restes d'environ 250 à 275 personnes.

Bien que les sépultures se poursuivent, aucune nouvelle parcelle n'a été vendue depuis les années 1970. La ville de Greenville contribue à l'entretien du cimetière, mais il n'y a pas de fonds de soins perpétuels et les tombes elles-mêmes restent une propriété privée. Une organisation "Friends of Springwood Cemetery" a été formée en 2002 pour sensibiliser les besoins au cimetière.^[20]

La maison Wilkins est une maison historique à Greenville, en Caroline du Sud, construite en 1878 par Jacob W. Cagle pour le marchand et capitaliste William T. Wilkins. Il a été inscrit au registre national des lieux historiques le 19 juillet 2016.

Wilkins, originaire de Spartanburg, en Caroline du Sud, s'est engagé dans le secteur du matériel à Charleston et à New York avant la guerre civile, bien qu'il soit retourné en Caroline du Sud pour se battre pour la Confédération. À sa mort en 1895, Wilkins était "un grand actionnaire dans presque toutes les entreprises manufacturières de Greenville".

En 1867, Wilkins épousa Harriet Dawkins Cleveland (1843-1930) de Greenville, une femme riche à part entière; et en 1875, ils se sont installés dans sa ville natale. Sur 93 acres, Wilkins a construit un manoir en brique à deux étages dans le style italianiste, reflétant leur importance dans la vie commerciale et sociale de la communauté. Une publication de 1898 a décrit la maison comme «la meilleure maison de tout homme du nord de la Caroline du Sud». L'intérieur élégant, décoré dans un style victorien élevé, comprenait de grands lustres en cristal, des sculptures bas-relief et un escalier incurvé impressionnant. Un véranda du côté nord était bondé de plantes et de fleurs. Même après la mort de son mari et de son fils unique, Mme Wilkins (par la suite toujours vêtue de noir) a continué à jouer de la grande dame, organisant des dîners luxueux et étant conduits aux rendez-vous sociaux dans une voiture clos.

À sa mort en 1930, la maison est passée à un neveu qui l'a loué à un salon funéraire, la morgue de Jones, qui a apporté des modifications superficielles à l'intérieur mais (entre autres modifications extérieures, notamment la peinture de la brique blanche) a ajouté un 1 200 pieds carrés Chapelle - Changement pour rendre la structure inadmissible à l'inclusion dans le registre national. Le salon funéraire a fermé ses portes en 1999 et pendant dix ans, le bâtiment a été utilisé pour les magasins d'antiquités et de spécialités et comme lieu de mariage.

Lorsque la propriété de quatre acres a été vendue à un acheteur qui souhaitait démolir la maison et construire une maison de soins infirmiers et un centre de vie assisté, le promoteur immobilier Neil Wilson a acheté la maison, avec l'intention de la préserver et de la restaurer. Avec l'aide du Palmetto Trust pour la préservation historique et des membres de la communauté de Greenville, les 720 000 $ nécessaires pour déplacer la maison ont été levés en 2014. Les ajouts de la Maison funéraire ont été démolis et le 6 septembre 2014, la maison d'environ 750 tonnes a été déplacée À quelques pâtés de maisons de la rue Augusta à Mills Avenue, devenant probablement dans le processus la structure la plus lourde jamais déplacée en Caroline du Sud.

Bien que les bâtiments qui ont été déplacés soient généralement inadmissibles au registre national, la maison Wilkins était considérée comme éligible sur la base de son architecture ("un excellent exemple de résidence italienne de style") et parce qu'il s'agissait d'une construction résidentielle rare par Jacob Cagle. En 2017, la Wilkins House a remporté un prix de préservation de l'État du Département des archives et de l'histoire de Caroline du Sud.^[25]

Isaqueena, également connue sous le nom de Gassaway Mansion, est une maison historique à Greenville, en Caroline du Sud, et la plus grande résidence privée du nord. En 1982, il a été répertorié dans le registre national des lieux historiques.

La maison de 40 chambres a été construite entre 1919 et 1924 par Walter L. Gassaway, banquier et propriétaire d'un moulin à textile; Son épouse, Minnie Quinn Gassaway, a conçu la structure après avoir suivi un cours de correspondance en architecture. Mme Gassaway a utilisé le manoir lui-même pour le divertissement, y compris les fêtes de cartes et les "divertissements dans la salle de musique et la salle de bal", mais elle a également supervisé le domaine de 110 acres qui comprenait une ferme et une laiterie en activité.

Comme le note la nomination du National Register, la maison à trois étages est "un exemple inhabituel d'éclectisme", mélangeant des éléments néo-gothiques et néoclassiques qui comprennent six colonnes doriques, une fenêtre palladienne, une tour castellée, deux patios sur le toit et une Porte massive -Cochère. La pierre pour la maçonnerie aléatoire de Bond a été en partie tirée d'un moulin à grains de grains du milieu du XIXe siècle sur la rivière Reedy appartenant à la fondatrice de Greenville, Vardry McBee.

Walter Gassaway est décédé d'une crise cardiaque le 4 juin 1930. L'année suivante, sa veuve a abandonné Isaqueena pour une maison plus petite (qu'elle a également conçue) plus près du centre-ville de Greenville. La plupart du domaine a été vendu pour des lots de maison et le manoir a été converti en appartements de location. En 1959, le bâtiment a été acheté par le naissant Museum d'art de Greenville, qui l'a occupé et a construit un bâtiment d'école d'art sur la propriété. Après que le musée d'art a déménagé dans une galerie spécialement conçue sur Greenville de Heritage Green en 1974, le manoir était vacant jusqu'à ce qu'il soit acheté en 1977 pour être utilisé comme église et école. Le bâtiment est de nouveau revenu une résidence privée dans les années 1990, et elle a depuis été maintenue par la location en tant que lieu de mariage.^[28]