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Tours : Que faire et que voir

Découvrez 15 attractions, lieux intéressants et activités insolites à Tours (France). Ne manquez pas les sites incontournables, parmi lesquels : Cathédrale Saint-Gatien de Tours, Château de Tours et Hôtel Goüin. D'autres attractions populaires à voir incluent : Musée des Beaux-Arts de Tours.

Vous trouverez ci-dessous la liste des lieux les plus étonnants à visiter.

Cathédrale Saint-Gatien de Tours

Cathédrale à Tours, France
wikipedia / Ninoo37 / CC BY-SA 3.0

Cathédrale à la façade gothique flamboyante. La cathédrale Saint-Gatien de Tours est une cathédrale catholique romaine, située à Tours dans le Vieux-Tours, en Indre-et-Loire. Dédiée à saint Gatien, le premier évêque de Tours, elle est le siège de l'archidiocèse de Tours et la cathédrale métropolitaine de la province ecclésiastique de Tours.

Elle a été classée monument historique par liste de 1862.[1]

Adresse: Place de la Cathédrale, 37000 Tours

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Château de Tours

Un château du 11e siècle accueille des expositions
wikipedia / Eusebius / CC BY 3.0

Un château du 11e siècle accueille des expositions. Le château de Tours, en Indre-et-Loire, est situé en bordure de Loire, dans le quartier le plus ancien de Tours, proche de la cathédrale Saint-Gatien, érigé sur les vestiges de la cité antique dont Tours tire son origine. Nonobstant l'étendue de ses fondations partiellement révélées par les fouilles des années 1970, il est la trace fort modeste d'un château médiéval comtal du XIe siècle, tel qu'il fut modifié et agrandi aux XIIIe et XVe siècles où il acquiert le statut de demeure royale. Presque entièrement détruit au XVIIIe siècle, ses deux tours restantes sont accommodées avec un nouveau bâtiment utilisé par l'armée à partir de la Révolution. Après avoir servi de caserne, c'est dans cette configuration singulière qu'il est tiré de l'oubli et restauré dans la seconde moitié du XXe siècle. Il fait l’objet d’un classement partiel au titre des monuments historiques depuis le 20 août 1913, l'autre partie bénéficiant d'une inscription à l'inventaire supplémentaire le 21 novembre 1973. Il abrite aujourd'hui des activités culturelles et patrimoniales.[2]

Adresse: Place des Turones, 37000 Tours

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Hôtel Goüin

Hôtel Goüin
wikipedia / Parsifall / CC BY-SA 3.0

L'hôtel Goüin est un hôtel particulier du XVe siècle situé à Tours dans le Vieux-Tours, un des rares vestiges de l'architecture Renaissance de la ville. Ce bâtiment fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 7 août 1941.[3]

Adresse: 25 Rue du Commerce, Tours (Centre)

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Musée des Beaux-Arts de Tours

Musée des beaux-arts dans un ancien palais
wikipedia / Casper Moller / CC BY 2.0

Aussi connu sous le nom de: Musée des Beaux-Arts

Musée des beaux-arts dans un ancien palais. Le musée des Beaux-Arts de Tours est installé dans l'ancien palais épiscopal de la ville, proche de la cathédrale dans le Vieux-Tours.

Un jardin à la française s'étend devant le palais épiscopal du XVIIIe siècle, qui a gardé une partie de son décor d'origine. Un cèdre du Liban, classé Arbre Remarquable de France, orne la cour du musée et on peut voir dans cette même cour, dans un bâtiment en face du palais, Fritz, un éléphant d'Asie empaillé, abattu car devenu incontrôlable lors d'une parade du cirque Barnum & Bailey dans les rues de Tours le 10 juin 1902. L'accès à l'éléphant et au grand cèdre sont gratuits puisqu'à l'intérieur du parc.

Le musée des Beaux-Arts de Tours est installé dans un bâtiment historique d’une qualité exceptionnelle. Le site est d’une importance capitale pour l’histoire de l’antique Caesarodunum; le musée abrite en ses souterrains la plus belle inscription lapidaire à la gloire des Turones. Les premiers évêques avaient choisi de s’installer à proximité de la cathédrale, dans un palais construit sur le rempart du IVe siècle dont subsiste encore aujourd'hui de belle trace notamment la tour d'angle.

Autre vestige de cette période, une chapelle adossée au palais des archevêques datant du IVe siècle et reconstruite en 591 sur ordre de Grégoire de Tours. Cet édifice fut transformé au XIIe siècle et en partie détruit au XVIIe siècle lors des aménagements du nouveau palais archiépiscopal de Mgr Bertrand d’Eschaux. Au XIIe siècle fut bâtie l’aile dite du Synode. Constamment transformée au cours des siècles, cette immense salle où se rassemblèrent à deux reprises (1468 et 1484) les états généraux du royaume de France est l’un des lieux historiques les plus évocateurs de l’histoire de Touraine.

Mgr Rosset de Fleury paracheva l’ensemble grâce à la construction du palais à fronton et attique et l’aménagement des terrasses dont la courbe suit le tracé de l’amphithéâtre romain. Enfin, Mgr de Conzié fit élever en 1775, à la place des anciennes écuries, l’imposant portail et l’hémicycle de la cour d’honneur. Il transforma en chapelle archiépiscopale l’ancienne salle du Synode et fit exécuter à cet effet une colonnade à l’antique.

Après 1789, le palais des Archevêques devient théâtre, École centrale, bibliothèque puis par arrêté départemental du 6 octobre 1792 et à l’énergie passionnée du fondateur de l’école de dessin de la Ville, Charles-Antoine Rougeot et de son gendre, Jean-Jacques Raverot, devint dépôt des œuvres saisies à la Révolution. Un premier musée ouvre au public dès le 4 mars 1795.

L'ancien archevêché fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le 27 juin 1983.[4]

Adresse: 18 place Francois Sicard, 37000 Tours

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Basilique Saint-Martin de Tours

Basilique à Tours, France
wikipedia / Parsifall / CC BY-SA 3.0

Église néo-byzantine avec une tombe de saint.. La basilique Saint-Martin de Tours est un édifice religieux situé à Tours dans le Vieux-Tours, dont la crypte abrite le tombeau de saint Martin de Tours.

L'ancienne église collégiale Saint-Martin de Tours, qui datait essentiellement du XIe siècle, fut désaffectée, vandalisée et transformée en écurie en 1793, puis démolie à la suite de l'effondrement des voûtes en 1797, seules deux tours étant conservées. La basilique actuelle, nettement plus modeste, a été construite entre 1886 et 1902 dans le style néo-byzantin par l'architecte Victor Laloux (inauguration dès 1890).

C'est un bâtiment en calcaire, granite et marbre, couvert d'ardoises. Pour les peintures murales, l'architecte s'adressa à Pierre Fritel, et les travaux de décoration furent exécutés avec l'aide de l'artiste-peintre et décorateur Adrien Lavieille, fils d'Eugène Lavieille. Une statue monumentale de saint Martin, en bronze, destinée à orner le dôme, fut commandée au sculpteur Jean-Baptiste Hugues (prix de Rome en 1875). Victor Thiébaut, fondeur, la livra en 1889. L'édifice a été consacré comme basilique le 4 juillet 1925.

Les vestiges de l'ancienne collégiale (la tour Charlemagne, la tour de l'Horloge et une galerie de cloître) ont été classés monuments historiques par la liste de 1840. La statue de saint Martin qui en couronne le dôme, fragilisée par les tempêtes du début 2014, a été déposée le 17 février 2014 pour être restaurée; son socle a été consolidé et la statue a été remise en place le 15 octobre 2016, en prévision de la saint Martin, fêtée chaque année le 11 novembre.

Le président de la République française porte le titre honorifique de chanoine (ad honores) de la basilique.[5]

Adresse: 7 Rue Baleschoux, 37000 Tours (Centre)

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Jardin botanique de Tours

Jardin botanique à Tours, France
wikipedia / Liné1 / CC BY-SA 3.0

Jardin botanique avec serres et faune. Le Jardin Botanique de Tours est situé à l'Ouest de la ville boulevard Tonnellé, face à la l'hôpital Bretonneau. Il est implanté sur une ancienne zone humide traversée autrefois par le ruisseau Sainte-Anne. Ce cours d'eau reliait directement la Loire et le Cher et alimentait les douves du château de Plessis-lès-Tours.[6]

Adresse: Boulevard Tonnellé, 37000 Tours

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Prieuré Saint-Cosme de Tours

Site historique à La Riche, France
wikipedia / Duch.seb / CC BY-SA 3.0

Aussi connu sous le nom de: Prieuré de Saint-Cosme

Site historique à La Riche, France. Le Prieuré Saint-Cosme de Tours est une fondation du chapitre de Saint-Martin de Tours, situé dans la commune de La Riche dans le département français d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.

De l'an mil jusqu'en 1742, une communauté de religieux (des chanoines réguliers de l'ordre de Saint-Augustin) est établie sur une ancienne île de la Loire. Le poète Pierre de Ronsard en est le prieur en 1565. Ces religieux commandent également le Prieuré Saint-Cosme de Chablis dans l'Yonne.[7]

Adresse: rue Ronsard, 37520 Tours

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Musée du Compagnonnage de Tours

Musée du Compagnonnage de Tours
wikipedia / Guill37 / CC BY-SA 3.0

Le musée du Compagnonnage de Tours est un musée municipal français situé dans la ville de Tours, au nord de la rue Nationale. Le musée de la belle ouvrage est aménagé dans l'ancienne abbaye Saint-Julien.

Il présente des collections de chefs-d'œuvre des compagnons du devoir, ainsi que des attributs compagnonniques, des archives, etc.[8]

Adresse: 8 rue Nationale, 37000 Tours (Centre)

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Château de Plessis-lèz-Tours

Château de Plessis-lèz-Tours
wikipedia / Yannick Bonnet (Yannick.bonnet@laposte.net) / CC BY-SA 2.5

Le château de Plessis-lèz-Tours est un ancien château royal situé sur la commune de La Riche en Indre-et-Loire, près de Tours. Il a été la demeure préférée du roi Louis XI qui y est mort le 30 août 1483. Il resta la résidence et le siège du pouvoir des rois de France sous Charles VIII et Louis XII, ce dernier y réunissant les états généraux de 1506. C'est le premier bâtiment en brique du Val de Loire, les travaux entrepris sous Charles VII et Louis XI ayant fait appel à des maçons de Béthune. Détruit aux trois quarts, il n'en reste aujourd'hui que l'aile Est. Il fait l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 12 avril 1927.[9]

Adresse: Rue du Plessis, Tours

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Abbaye de Marmoutier

Abbaye de Marmoutier
wikipedia / Guill37 / Public Domain

L'abbaye de Marmoutier est une ancienne abbaye de moines bénédictins située sur la rive droite de la Loire, un peu en amont de Tours.

Fondée par Martin de Tours, sans doute en 372, l'abbaye connut son apogée au Moyen Âge et ses dépendances s'étendaient dans une bonne partie de la France médiévale et jusqu'en Angleterre. Elle fut démembrée sous la Révolution française. Rachetés par les sœurs du Sacré-Cœur, les bâtiments rescapés furent restaurés et d'autres construits pour abriter un établissement d'enseignement privé toujours en activité au XXI e siècle.

La partie du site abritant les vestiges de l'ancienne abbaye a été rachetée par la ville de Tours en 1981 et des fouilles archéologiques y sont en cours depuis 2004.[10]

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Amphithéâtre de Tours

Site historique à Tours, France
wikipedia / Norbert Nagel / CC BY-SA 3.0

Site historique à Tours, France. L'amphithéâtre de Tours est un monument de spectacle antique situé dans le centre historique de la ville, derrière la cathédrale.

Il est construit au Ier siècle, à l'époque où Tours, sous le nom de Caesarodunum, est le chef-lieu de la petite cité des Turons. L'emplacement retenu, le sommet d'une petite colline en marge de la zone urbanisée antique, le met à l'abri des crues, facilite la circulation à ses abords et le signale de loin comme un symbole ostentatoire de la puissance de la ville. Édifice de structure massive et de forme sensiblement elliptique, ses dimensions estimées sont alors de 122 m sur 94 m. Agrandi au IIe siècle (156 × 134 m), il devient l'un des plus vastes de tout l'Empire romain au point d'être parfois qualifié de « monstre architectural », et au XXIe siècle ses dimensions colossales ne sont pas explicables au regard de la taille de Caesarodunum et de la cité des Turons. Transformé en forteresse au IIIe siècle, il est intégré au rempart défensif du Bas-Empire, dont il constitue l'élément structurant, dans la première moitié du IVe siècle. Il tombe progressivement en ruine au cours du Moyen Âge en même temps que des habitations prennent appui sur ses structures et le dissimulent peu à peu.

Totalement oublié jusqu'au XIXe siècle, il est redécouvert en 1853 grâce aux actions menées par la Société archéologique de Touraine, dans un contexte national très favorable aux sociétés savantes et aux études archéologiques. Les caves des maisons qui se sont construites sur ses murs font l'objet de relevés et d'observations à partir de 1962 et jusqu'au milieu des années 1970, complétées par un travail de fond sur l'évolution topographique et architecturale du quartier au cours des siècles, dans les années 2000. Vers la même époque, la découverte fortuite de nouveaux vestiges jusque-là inconnus est l'occasion de reprendre les données archéologiques et bibliographiques plus anciennes, de les réinterpréter pour proposer une nouvelle histoire du monument; ce réexamen, qui comprend entre autres la constitution de plans de l'amphithéâtre aux échelles 1/1000 et 1/20, est toujours en cours en 2017.

Les vestiges actuels de l'amphithéâtre de Tours sont enfouis dans des maisons du quartier canonial de la cathédrale; ses vomitoires réaménagés en caves, parfois sur deux niveaux superposés, sont inaccessibles au public. Seules des rues témoignent de son existence : l’une emprunte partiellement le tracé du pourtour de sa cavea tandis qu'une autre traverse l'arène presque en son centre; les deux dernières soulignent, mais de façon moins suggestive, son pourtour du nord-ouest au nord-est. Le parcellaire rayonnant du quartier, si caractéristique en vue aérienne ou sur un plan cadastral, ainsi que des pans de murs modernes plaqués contre la partie sud de son ellipse en proposent un autre témoignage. Si certaines des maisons qui se sont construites à son emplacement font partie des édifices inscrits comme monuments historiques, les vestiges de l'amphithéâtre, en eux-mêmes, ne font à ce titre l'objet d'aucune mesure de protection. Toutefois, le périmètre et le quartier de la cathédrale où se trouve l’amphithéâtre font partie du secteur sauvegardé de la ville.[11]

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Cloître de la Psalette

Cloître de la Psalette
wikipedia / Croquant / CC BY-SA 3.0

Le cloître de la cathédrale Saint-Gatien de Tours, ou cloître de la Psalette, est situé dans le quartier Saint-Gatien du Vieux-Tours. Il est géré par le Centre des monuments nationaux. Il fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis 1889.[12]

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Rue Nationale

Rue à Tours, France
wikipedia / Public Domain

Rue à Tours, France. La rue Nationale est l'une des rues de la ville de Tours.[13]

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Centre de Création contemporaine Olivier Debré

Centre de Création contemporaine Olivier Debré
facebook / ccc.tours / CC BY-SA 3.0

Musée, Galerie d'art, Musée d'art, Shopping

Adresse: Jardin Francois 1er, 37000 Tours (Centre)

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Châteaux de la Loire

Châteaux de la Loire
wikipedia / NonNobis / CC BY-SA 3.0

L'expression châteaux de la Loire regroupe sous une même appellation touristique un ensemble de châteaux français situés dans le Val de Loire. Le territoire connu sous le nom de comté de Tours est âprement disputé entre le X e siècle et le XI e siècle par la maison féodale blésoise et la maison d'Anjou, conflit qui sera suivi au XII e siècle et XIII e siècle par la Première guerre de Cent Ans entre la France et l'Angleterre et entre le XIV e siècle et le XV e siècle par la Deuxième guerre de Cent Ans toujours entre la France et l'Angleterre; ces trois guerres seront à l'origine de la plupart des châteaux du val de Loire actuels.

Les châteaux de la Loire ont la particularité architecturale d'avoir été, pour la plupart, rebâtis ou fortement remaniés aux XVe siècle et XVIe siècle à une époque où la cour des rois de France était installée dans cette région ou dans ses environs immédiats. La Renaissance voit l’apogée du rôle du Val de Loire au sein du Royaume de France, de Charles VII et Louis XI, qui font de Tours la capitale, jusqu’à Henri IV qui la ramène à Paris en 1594, à la fin des guerres de Religion le centre du pouvoir reste dans la région. Les Valois, découvrent en Italie vers la fin du XVe siècle un nouvel art de vivre, qui sera transposé dans le Val de Loire, en y faisant venir de nombreux artistes et artisans italiens, dont le plus célèbre d’entre eux, Léonard de Vinci. La notion de châteaux de la Loire revêt principalement une acception touristique, liée à cette exceptionnelle densité de monuments à visiter. Toutefois ils ont la particularité architecturale d'être pour la plupart soit construits en tuffeau turonien soit en brique avec chaînages également en tuffeau.

Il n'existe officiellement aucune liste exhaustive des châteaux dits « de la Vallée de la Loire ». La plupart se situent dans les départements du Maine-et-Loire, d'Indre-et-Loire, du Loir-et-Cher, d'Eure-et-Loir et du Loiret, mais certains auteurs incluent aussi les départements de la Sarthe, de la Mayenne, du Cher, de l'Indre, voire de la Nièvre.

La concentration en monuments remarquables dans cette région a d'ailleurs en partie justifié l'inscription du Val de Loire sur la liste du patrimoine mondial par l'Unesco, entre Sully-sur-Loire (Loiret) et Chalonnes-sur-Loire (Maine-et-Loire). Par ailleurs, un certain nombre de châteaux, généralement d'origine royale ou construits par des seigneurs proches du pouvoir royal, ont une notoriété internationale (Chambord, Chenonceau...).

Au nombre global proche de 3000, tous ces châteaux sont principalement situés dans les régions Centre-Val de Loire et Pays de la Loire. Ils ont des liens directs ou indirects avec la vallée de la Loire (son histoire, son architecture...), et forment la plus grande concentration au monde de ce type de monuments.[14]

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Plus d'idées pour savoir où aller et quoi voir

Citations et références